541. Письмо к. с. Мазаровича к ген. Ермолову, от 31-го июля 1824 года. — Султаниэ.

J'ai remis vos deux lettres en mains propres du Roi. Dix jours plus tard seulement, les princes du sang, les ministres et tous tomberent sur moi. Le Schah a vait donc fait un mystere de votre missive jusqu'alors. Il semble etre lui-meme indispose contre nous. Je n'ai pu le voir que cette fois seulement.

a o l’ o t i r s a n a t v f e e a s f v m r i s-n r r e l e o s o u m l t. C e a u e e n i e i l s a r n j' o d n l p p i c e v r e q r e l' v t u n r p o o n i u s u' a a a i t u a g n l u l v l h a e a l o t T o e S s e h t e a n i c l-d- (Nos affaires vont tres mal L'arrivee du consul ne les ameliore point J'ai par ecrit qu'on ne veut pas l'avoir au Guilan. Telle est la volonte du Schab.).

C'est la simplement ce que j'ai obtenu en reponse a mes notes.

Je suis en route pour Teheran. J'ai ecrit a Mr. de Vatzenko de me rejoindre a la capitale. Mamed-Ali-khan est parti pour lui servir de mehmendar.

Dans la derniere conference que j'ai eue avec le Naib-Sultan ce matin, quand je lui eus communique le papier de V. Ex. sub № 32, recu hier au soir, au sujet de l'entrevue, son Altesse m'a repondu ces paroles precises: “Elle aura certainement heu des que vous reussirez a persuader nos ministres et le Schah sur la question de la residence du consul au Guilan. Dans le cas contraire, elle serait inutile.”

Je n'ose pas, Mr. le General, deduire les [296] consequences qui decoulent de cette communication. En politique on ne connait les causes que par les effets. Vous qui etes mon chef, vous saurez les rapporter a leur veritable source. Je ne puis pas en dire davantage en ce moment d'agitation generale. Des mon arrivee a Teheran j'aurai l'honneur, Excellence, de vous ecrire en detail, ainsi qu'au Ministere Imperial. Ma position est tres-critique sous tous les rapports. Mais je tiendrai bon jusqu'a nouvel ordre.

J'ai ete oblige d'ecrire sur ce format de papier, faute de meilleur pour le chiffre.

Резолюция ген. Ермолова: Прошу сохранить письмо сие при делах канцелярии, ибо на оное ссылаюсь я в официальной бумаге к гр. Нессельроде.